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jeudi 29 mars 2012

Les randos de mars

Le prieuré Sainte Agnès à La Motte de Galaure,
la maison forte de l'Hotoire à Ardoix,
les bugnes à Anneyron,

et la pêche aux tétards à Rochechinard...

Un mois de mars bien rempli pour les randonneurs de la MJC de St Donat, jugez plutôt :

Le 7, la rando des bugnes à Anneyron avec Marie Thé,
Le 14 après midi : de Marnans à St Siméon de BRESSIEUX avec Anne Marie et à la journée : le « 8 de la  Galaure » avec Bernard.
Le 15 : les Tours à Tournon avec Marie Claire.
Le 21 : le château de Rochechinard avec Alain.
Le 22 : les crêtes de St Bardoux avec Robert.
Le 28 : les maisons fortes à Ardoix avec Marie Thé et de Varacieux à Murinais avec Anne Marie.
Le 29 : la Juge au départ des Balmes de Romans avec Bernard.

dimanche 25 mars 2012

Un article de René MERLE...

Curieux pays, où, réceptions officielles de chefs religieux aidant, le fameux "vivre ensemble" désigne chacun par son appartenance : les Français sont catholiques, à la rigueur protestants, ils sont musulmans, ils sont israélites... Ainsi obtient-on un cocktail censé représenter la France, dans sa diversité. Diversité proclamée fraternelle, en dépit des avatars (les tragiques événements récents en témoignent).
Je n'ai aucune envie d'arborer une étiquette dans cette galerie monothéiste (les Boudhistes m'en excuseront). Aucune ne me conviendrait. Cependant, je ne pense pas être original en affirmant que si étiquette il doit y avoir, je suis athée. Non pas agnostique, mais athée. Ceci dit sans la moindre animosité à l'égard de mes compatriotes professant des convictions religieuses : notre République laïque garantit à chacun liberté et respect de ses convictions et pratiques religieuses...
Dans les médias comme dans les discours officiels, jamais n'est mentionné cet athéisme profondément enraciné dans la réalité française. Cette occultation, de plus en plus affirmée au profit de l'affichage des religions et des églises, procède implicitement d'une négation des fondements de la République. La fameuse "Union nationale" dont on nous rebat les oreilles (nous en reparlerons), ne peut rassembler que des citoyens de la République, et non des adorateurs de tel ou tel Dieu. Des générations se sont battues pour que ce ne soit plus la loi proclamée Loi de Dieu qui régisse notre vie en commun, mais la Loi républicaine. Confortée dorénavant par la liberté des cultes, qui est le fruit de notre grande Révolution, cette Loi de Dieu a dû quitter (par la grande porte) le champ de la légalité républicaine pour éventuellement investir l'intimité de chacun. 
Comment ne pas voir que certains aimeraient voir la Loi de Dieu, ou plutôt aujourd'hui la loi des Dieux, entrer à nouveau, discrètement par la fenêtre, en attendant de reprendre sa posture impérative. 

lundi 19 mars 2012

les bienfaits du capitalisme !



Les banques accusées de spéculer sur les denrées alimentaires
de : via La Louve
lundi 19 mars 2012 - 10h44
Le prix du blé ou de la poudre de lait flambent. Une étude des Amis de la terre Europe accuse les banques et assureurs européens d’entretenir la volatilité des cours, mettant en danger la sécurité alimentaire des pays les plus dépendants des importations pour se nourrir.
C’était il y a un peu plus d’un an : en janvier 2011, Nicolas Sarkozy s’en prenait vertement à "l’irresponsabilité des spéculateurs", coupables d’entretenir la flambée des cours des matières premières agricoles. Dans la foulée, les pays G20 se réunissaient pour étudier les moyens à mettre en œuvre pour réguler ce marché devenu fou…
Depuis, quelques mesures ont bien été prises, mais pas de quoi mettre un terme à ces dysfonctionnements. La raison de cette impuissance ? Le rapport "Récolter l’argent" des Amis de la Terre Europe (1) accuse les institutions financières qui ont développé des produits complexes basés, notamment, sur les cours du blé ou sur la poudre de lait.
Ces banques ou assureurs participent également au financement des rachats de terres agricoles dans les pays du sud par des Etats ou des multinationales en position de force pour spéculer sur les prix des produits agricoles. Et dans ce grand jeu planétaire, des banques et compagnies d’assurances européennes ont largement leur part de responsabilité.
"Trophée de la honte" pour Barclays
L’ONG a ainsi passé à la loupe les activités de 29 d’entre elles. Parmi les plus actives : la banque britannique Barclays. Apportant de l’eau au moulin de l’ONG, Geenpeace Suisse et la Déclaration de Berne ont attribué début janvier à la Barclays le "trophée de la honte". L’établissement a, en effet, engrangé 340 millions de livres sterling (405 millions d’euros) en 2011 en spéculant sur le marché des matières premières agricoles.
Dans le sillage de la banque d’Outre Manche, la Deutsche Bank, le fonds de pension néerlandais ABP, le groupe Allianz ou encore BNP Paribas qui souhaite, selon l’étude, "doubler d’ici trois ans les revenus dégagés de sa présence sur les marchés des matières premières". Banques et assureurs européens misent sur les denrées alimentaires pour diversifier leurs portefeuilles.
Ce que, pour sa part, la Société générale reconnaît explicitement :
La demande globale de nourriture va augmenter dans les années à venir, contribuant à accroire la valeur des matières premières agricoles et des terres cultivables. Les entreprises agricoles sont le moyen le plus sûr pour permettre aux investisseurs d’en bénéficier…"
écrit dés 2009, l’analyste Dylan Grice dans une note aux clients de la banque. Responsabilité sociale bafouée
Le problème est que la spéculation alimentaire et le financement de l’accaparement des terres mènent tout droit à une instabilité catastrophique des prix des denrées alimentaires, plongeant des millions de personnes dans la pauvreté et la faim. Les banques, les compagnies d’assurance et les fonds de pension européens qui spéculent sur les prix alimentaires et avec les terres jouent avec la vie des populations et en retirent d’énormes profits"
souligne Juliette Renaud, chargée de campagne sur la responsabilité des acteurs financiers aux Amis de la Terre. Et ce n’est pas le moindre des paradoxes pour des entreprises qui cherchent à mettre en avant leur politique en matière de responsabilité sociale…
(1) Les amis de la terre Europe, Farming Money, janvier 2012. Le rapport est disponible ici : cliquez
http://fr.myeurop.info/2012/03/17/les-banques-accusees-de-speculer-sur-les-denrees-alimentaires-4917

samedi 17 mars 2012

Le nouveau RIDAN est arrivé...

...A consommer sans modération pour se laver les oreilles de toutes les conneries balancées par Sarko, Guéant, Besson et autres Lepen.
 A voir et écouter en cliquant sur le lien ci dessous :
http://youtu.be/TNy4Lli83-I
Dommage, je n'ai pas trouvé les paroles !

mercredi 14 mars 2012

Les endives de la colère

UNE CONDAMNATION ABSURDE
REFLET D’UN TRAITÉ ASSASSIN

Le traité de Lisbonne qui a inscrit dans le marbre le dogme de la libre concurrence sans entrave assassine les producteurs.

En condamnant l’organisation des producteurs d’endives pour entente illicite portant atteinte à la libre concurrence et à la liberté des prix, l’autorité de la concurrence met à mal toute une filière.

Sur le fond l’autorité de la concurrence remet en cause toute forme d’organisation collective et bannit les valeurs de solidarité et de démocratie sociale. Cette condamnation absurde a le mérite de rappeler à tous ceux qui l’auraient oublié qu’elle s’appuie sur des orientations politiques décidées par nos gouvernants.

Dans cette période électorale, il est bon de souligner les responsabilités de chacun. Si le MODEF soutient sans ambiguïté les producteurs d’endives, il tient à redire que lors du référendum sur le traité constitutionnel européen, le MODEF avait appelé à voter NON en dénonçant le principe de la concurrence libre et non faussée inscrit dans ce traité, contrairement à la FNSEA-JA.

Malgré un NON majoritaire à cette consultation référendaire, le président de la République l’imposait sous le nom de traité de Lisbonne au Parlement.

Pour une démocratie libre et non faussée, sachons remettre en cause ce traité et ses principes qui empêchent toute forme de régulation des prix et de la production agricole.

Le MODEF  est totalement solidaire des actions menées par les producteurs d’endives pour se défendre.
Angoulême, le 14 mars 2012
Le Secrétaire Général,
                                                                                   Raymond GIRARDI

dimanche 4 mars 2012

Le paysan et le président

Après le : "Casses toi pov' con" l'excité de Neuilly récidive au pays basque : 


Avant d’être hué par la foule à Bayonne, le président-candidat a également été pris à partie à Itxassou.
Avant son accueil sous les huées à Bayonne, le déplacement de Nicolas Sarkozy dans le Sud-Ouest avait déjà débuté sous le signe de la tension. France Inter a diffusé vendredi 2 mars un extrait de l’échange du président-candidat avec un couple d’agriculteurs rencontrés, en compagnie de Michèle Alliot-Marie, à Itxassou, au sud-est de Bayonne.
L’éleveuse évoquait la pénibilité de son travail et ses problèmes financiers :
L’agricultrice : "Ecoutez, on n’est pas aux 35 heures, hein."
Nicolas Sarkozy : "Moi non plus."
L’agriculteur : "Oui, mais on n’a pas le même salaire."
L’agricultrice : "Nous, on n’a rien. On vivote."
Nicolas Sarkozy : "Moi, je ne suis pas propriétaire de 40 hectares, hein, ok ?"

40 hectares au pays basque valent 160 000 €, soit 8 mois de traitement présidentiel. Et pour constituer une exploitation de 40 hectares, il faut au moins le travail de 4 générations de paysans... Si après une pareille connerie, il se trouve encore une majorité de paysans pour voter pour le nain il y a de quoi se les prendre pour se les mordre !!!

vendredi 2 mars 2012

Plume et Paille

Soirée spectacle pour Loulou, Mamy Thé et Pépé Jojo. Ce vendredi la MJC de St Donat offrait aux petits et aux plus grands un très beau spectacle de la compagnie "Adroite gauche" : "Plume et Paille", deux comédiennes, chanteuses, musiciennes et acrobates et une harpe s'interpellent pour la plus grande joie des petits et des grands. Une heure de poésie, d'humour, de tendresse où l'on ne s'ennuie pas une seconde.