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samedi 29 mars 2014

Les Marins d'Iroise - Amsterdam (clip officiel)





Pour les copines et les copains du groupe chant de la rando MJC

ATTENTION, PAS DE REPETTE LUNDI SOIR !!!

dimanche 23 mars 2014

DE LA SERVITUDE MODERNE



De la servitude moderne est un livre et un film documentaire de 52 minutes produits de manière totalement indépendante ; le livre (et le DVD qu’il contient) est distribué gratuitement dans certains lieux alternatifs en France et en Amérique latine. Le texte a été écrit en Jamaïque en octobre 2007 et le documentaire a été achevé en Colombie en mai 2009. Il existe en version française, anglaise et espagnole. Le film est élaboré à partir d’images détournées, essentiellement issues de films de fiction et de documentaires. L’objectif central de ce film est de mettre à jour la condition de l’esclave moderne dans le cadre du système totalitaire marchand et de rendre visible les formes de mystification qui occultent cette condition servile. Il a été fait dans le seul but d’attaquer frontalement l’organisation dominante du monde.
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Dans l’immense champ de bataille de la guerre civile mondiale, le langage constitue une arme de choix. Il s’agit d’appeler effectivement les choses par leur nom et de faire découvrir l’essence cachée de ces réalités par la manière dont on les nomme. La démocratie libérale est un mythe en cela que l’organisation dominante du monde n’a rien de démocratique ni même rien de libérale. Il est donc urgent de substituer au mythe de la démocratie libérale sa réalité concrète de système totalitaire marchand et de répandre cette nouvelle expression comme une trainée de poudre prête à incendier les esprits en révélant la nature profonde de la domination présente. D’aucuns espéreront trouver ici des solutions ou des réponses toutes faites, genre petit manuel de « Comment faire la révolution ? ». Tel n’est pas le propos de ce film. Il s’agit ici de faire la critique exacte de la société qu’il nous faut combattre. Ce film est avant tout un outil militant qui a pour vocation de faire s’interroger le plus grand nombre et de répandre la critique partout où elle n’a pas accès. Les solutions, les éléments de programme, c’est ensemble qu’il faut les construire. Et c’est avant tout dans la pratique qu’elles éclatent au grand jour. Nous n’avons pas besoin d’un gourou qui vienne nous expliquer comment nous devons agir.
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La liberté d’action doit être notre caractéristique principale. Ceux qui veulent rester des esclaves attendent l’homme providentiel ou l’œuvre qu’il suffirait de suivre à la lettre pour être plus libre. On en a trop vu de ces œuvres ou de ces hommes dans toute l’histoire du XXº siècle qui se sont proposés de constituer l’avant-garde révolutionnaire et de conduire le prolétariat vers la libération de sa condition. Les résultats cauchemardesques parlent d’eux-mêmes. Par ailleurs, nous condamnons toutes les religions en cela qu’elles sont génératrices d’illusions nous permettant d’accepter notre sordide condition de dominés et qu’elles mentent ou déraisonnent sur à peu près tout. Mais nous condamnons également toute stigmatisation d’une religion en particulier.
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Les adeptes du complot sioniste ou du péril islamiste sont de pauvres têtes mystifiées qui confondent la critique radicale avec la haine et le dédain. Ils ne sont capables de produire que de la boue. Si certains d’entre eux se disent révolutionnaires, c’est davantage en référence aux « révolutions nationales » des années 1930-1940 qu’à la véritable révolution libératrice à laquelle nous aspirons. La recherche d’un bouc émissaire en fonction de son appartenance religieuse ou ethnique est vieille comme la civilisation et elle n’est que le produit des frustrations de ceux qui cherchent des réponses rapides et simples face au véritable mal qui nous accable. Il ne peut y avoir d’ambigüité sur la nature de notre combat. Nous sommes favorables à l’émancipation de l’humanité toute entière, sans aucune forme de discrimination. Tout pour tous est l’essence du programme révolutionnaire auquel nous adhérons.
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samedi 15 mars 2014

Suis un demeuré ??? par Loulou des Lilas

En Ukraine, quand un gouvernement démocratiquement élu est renversé par des manifestants, dont certains sont quand même des néo nazis, c’est une révolution démocratique. Puisque ces manifestants  sont soutenus par l’Europe et les Etats-Unis.

En Crimée, quand un parlement démocratiquement élu décide d’organiser un référendum, c'est-à-dire de donner la parole aux citoyens, c’est totalement inacceptable, et c’est une preuve de dictature, puisque Poutine (pour lequel ma sympathie est limitée) approuve. J’eusse aime que l’on m’expliquât. 

La Grèce est quasiment en faillite, percluse de dettes. L’Espagne en pleine crise, au bord de la ruine. L’Italie ne va guère mieux. La France est sous une surveillance renforcée de la part de la commission européenne, car l’état (lamentable) de notre économie risque de provoquer une crise systémique ! Bref, l’Europe est mal en point, et il faut que ses citoyens acceptent des mesures « courageuses ».

L’Europe va prêter 11 milliards d’euros à l’Ukraine, pays qui n’en est même pas membre. Donc elle va réussir à les trouver ces 11 milliards...

J’eusse aimé que l’on m’expliquât.

Bref, je ne comprends rien à rien. Et il y a deux solutions : soit je suis demeuré, ce qui est fort possible, soit « ils » nous prennent pour des cons. Si c’est le cas, je ne vois pas pourquoi
 « ils » se gêneraient, puisque ça a l’air de fort bien fonctionner.

Donc, à mon avis, « ils » vont continuer…


Elagage





Devant chez nous, il y a un mûrier, je l'ai toujours vu, mais il a beaucoup grandit et il a fallut le raccourcir. VIncent, notre jeune voisin est élagueur, c'est donc lui qui s'est chargé de cette opération quelque peu acrobatique.

jeudi 13 mars 2014

Le Grand Delmas

La montée dans la neige 

Photos Elisabeth BEGOT

Le Grand Delmas et à l'arrière plan les Trois Becs



Nous partons à seize pour le Col de la Chaudière pour gravir les pentes enneigées du Grand Delmas, point culminant de la montagne de Couspeau (1544 m.).
La montée est très raide (pente moyenne 25 %) et la neige nous impose des efforts  supplémentaires.
Le sommet atteint, nous suivons la ligne de crête jusqu'au Col de Puzaou et le sommet de la Volette. Nous redescendons jusqu'à Rochefourchat (la plus petite commune de France : 1 habitant ...?)
Puis une longue remontée, toujours dans la neige, par le Col Jeannin.
Et enfin la descente sur la Chaudière, soit : 18.600 km, 1055 m de D + et 6 h 30 de temps de marche.