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mercredi 17 février 2016

La dernière (en date) mini zone de SINE

J’ai décidé de poursuivre BHL !

Tout en sachant que la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe, j’ai décidé de rentrer dans le lard de BHL, notre philosophe milliardaire aux chemises amidonnées, car j’en ai marre de me laisser sans cesse insulter par cet individu, qui continue, envers et contre tous, à me traiter, partout où il sévit, de raciste et d’antisémite.
J’ai longtemps laissé pisser et m’amusais plutôt de son obsessionnelle « sinéphobie » mais, à l’hosto, j’ai pris un coup de sang, probablement dû à mes nombreuses transfusions, et j’ai demandé à mon avocat de poursuivre ce venimeux pour injure et diffamation bien que la procédure coûte la peau des fesses.
Dans cette société, il faut être riche pour ne pas se laisser cracher dessus !
D’ailleurs, à ce sujet, une anecdote qui vaut son pesant de cacahouètes : après avoir demandé un droit de réponse au journal Le Point dans lequel le rigolo s’était, une fois de plus, répandu sur mon compte, on pouvait relire gratuitement ses insultes (raciste et antisémite) sur leur site, mais pour prendre connaissance de leur mise au point, il fallait payer pour lire la suite de l’article !
Peut-être avez-vous du mal à y croire, mais je vous jure que c’est vrai ! Il est question de rétablir le service militaire pour les djeuns.
Je suis assez pour, sachant que l’année 1949 passée « sous les drapeaux », comme on dit, m’a été très bénéfique. J’y ai appris à haïr, à détester, à avoir des idées de meurtres, qui m’ont bien aidé et qui m’aident encore aujourd’hui dans mon boulot.
Car il n’y avait pas que les sous-officiers de carrière, barjos aux crânes rasés, méchants comme des teignes et sales comme des peignes, qui nous humiliaient dès 5 heures du mat (réveil au clairon) jusqu’à 22 heures (extinction des feux), il y avait aussi de braves pèquenots analphabètes, arrivés « bleubite » comme nous tous, mais qui, avec leurs galons gagnés grâce à leur lèchecuterie, se conduisaient comme des enculés de kapos !
J’ai appris, au cours de cette année d’enfer, à mentir, à ne me respecter ni moi ni les autres, à ne plus me laver.
Le clairon sonne à 5 heures et on doit être dans la cour, en uniforme impeccable et au à garde-à-vous, à six heures, après avoir bu son caoua tiède et putride, fait sa toilette à l’eau froide, chié en vitesse dans un trou immonde et s’être lavé dans un endroit crasseux comme on en propose aux sans-abris !
Difficile d’avoir le cul propre et de ne pas sentir le bouc dans ces conditions ! La seule chose vraiment utile aurait été d’apprendre à manier les armes dans l’espoir, un jour, de flinguer tout ce petit monde dégueulasse, malheureusement, à mon époque, on faisait l’exercice avec des fusils rouillés datant de la guerre 14-18 !
Comme apprentissage du meurtre, on fait mieux ! N’oubliez jamais ça : l’armée est l’école du crime !
Banzaï !


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